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ALCOOLOGIE

Vous vous posez des questions sur votre consommation d’alcool ? 

Il vous arrive de boire trop au point d’oublier une partie de votre soirée ? 

Votre consommation inquiète vos proches et/ou votre médecin traitant ?

Vous consommez pour décompresser, déconnecter ou oublier certains aspects douloureux/tristes/anxieux de votre vie ?

Impression d'être pris dans un engrenage ? 

Vous avez déjà tenté de réduire votre consommation mais vous craquez à la première occasion/tentation (fête, mauvaise journée, dispute, soucis, …) ?

Vous êtes entourés de personnes qui boivent souvent et beaucoup, et vous ne parvenez plus à rester dans une consommation légère? 

Image de Chen ming liang
Modèle boire du vin

Boire moins que les autres ne signifie pas que votre consommation est « safe ». 

Ne boire que le week-end ne signifie pas non plus que votre consommation est « safe ». 

Être capable de faire un mois sans alcool ne signifie pas que votre rapport à l’alcool est sain et adéquat.

Souvent, le terme « alcoolisme » fait peur.

Cependant, des étapes intermédiaires existent (mésusage d’alcool, alcool nocif, alcoolisme gamma, …) avant d’atteindre ce haut niveau de dépendance. 

Un bilan d’alcoologie peut vous aider à faire le point, à prendre conscience de ce qui est normal et ce qui l’est moins.

Nous pourrons alors mettre en place une stratégie de réduction de consommation (afin de conserver, si possible, l’alcool plaisir), ou parler d’abstinence si cela s’avère nécessaire. 

Une discussion autour des différents outils d’aide qui existent (groupes de soutien, journalier de boisson, aide pharmaceutique pour réduire ou cesser la consommation, cure à domicile ou en hospitalisation, …) permet d’y voir plus clair. 

Je base ma consultation sur l’écoute, le soutien, et l’encouragement. Je ne suis pas là pour vous juger ou prendre des décisions à votre place.

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